sur le terrain. À 44 ans, elle se tourne vers l’entraînement et forme des jeunes filles
de 10 à 13 ans. Puis, à Saint-Herblain, des plus jeunes, filles et garçons. Après une interruption pour raisons de santé, elle envisage sérieusement de s’y remettre.
La rue de Préfailles où elle habite, raconte Christine, n’est plus le lieu agité qu’elle a connu, où les « descentes de flics » n’étaient pas rares : « Les jeunes ont grandi, ils se sont calmés, ils sont devenus des parents. » Les enfants jouent encore dehors, mais on rencontre peu de jeunes filles dans la rue. Pour son goût, le quartier est même « trop calme. » Elle aimerait déménager pour un lieu plus bruyant : « Moi, j’ai besoin de bruit ! ». ■
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